Les titres sont parfois si bien trouvés qu'il est difficile d'en mettre un autre pour parler de l'oeuvre, du film en l'occurence, le troisième long métrage de Elia Suleiman.

Les films sont parfois si bien faits qu'il est difficile d'en parler. Parler des cadres, du gag, de l'émotion, ou du fait de reconnaître dans chaque plan la justesse ou la véracité. Chacun y trouvera ce qu'il a en dire, mais chapeau à celui qui réussira à parler de tout. Je n'avais jamais vu une description politique aussi poétique, une vision poétique aussi humaine, une histoire humaine aussi politique...

Je suis donc officiellement un groupie de M. Sueliman, ayant adoré ses 3 longs métrages, et ayant presque voulu applaudir à la fin ce soir (mais bon, en l'absence du réalisateur c'est quand même aussi ridicule qu'applaudir dans l'avion).